Salut à tous ...
J'ai remarqué que certains d'entre nous pouvaient être à la recherche de livres , de revues ou de publications anciennes, épuisées ou introuvables , relatives à la Spéléologie ou des domaines associés ...
Si ces publications sont d'origine françaises, il existe un dernier recours , (qui consiste à les consulter ou en faire des photocopies ou des Scans ...), auprés du "Dépot Légal " de la Bibliothéque Nationale de France ... (BNF.)
En effet tout écrit , même le plus insignifiant , se doit dêtre déposé en plusieurs exemplaire , au Dépot Légal ...
je crois savoir , sauf erreur de ma part, que ce dépot légal serait une invention de François Premier , ( le Roi de France ...), donc , vous pourrez trouver vraiment d'anciens écrits ...
j'ai dégoté moi même, au dépot légal, un vieux bouquin de chez Larousse, de 1950, les gens de chez Larousse n'ayant même plus trace de cet ouvrage ...
voili, voilou , si cela peut vous être utile ...
à plus
Titou des G
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et je dirais même plus :
tout écrit, même le plus insignifiant se doit d'être déposé en double exemplaire (enfin, déjà un ce serait super...) au Centre National de Documentation Spéléologique, 28, rue Delandine, 69002 LYON, comme chacun le sait.
Pour la petite histoire, nous n'avons pas eu le temps de faire des recherches sur la bibliothèque éventuelle de la Société de Spéléologie. Peut être se confondait-elle avec la bibliothèque d’Edouard-Alfred Martel ? mais en tout cas, lors de la création du Spéléo-Club de France, dont le siège social est situé dans la Maison de l'Agriculture, 16 rue de la République à Montpellier, un chapitre des statuts est consacré à la bibliothèque et aux devoirs du bibliothécaire.
Notre petite bibliothèque fédérale n'a certainement rien à envier au Dépôt légal bien sûr, mais elle remplit honnêtement les 500 mêtres linéaires qu'on a bien voulut mettre à sa disposition.... et n'importe qui peut faire à saut à l'occasion d'un passage au siège... et consulter ses rayonnages sur rendez-vous.
@+
Agnès
(Je profite de ce message, les Spelunca demandés à Philippe Drouin sont prêts et vous attendent au siège).
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adarnoux a écrit:
et je dirais même plus :
tout écrit, même le plus insignifiant se doit d'être déposé en double exemplaire (enfin, déjà un ce serait super...) au Centre National de Documentation Spéléologique, 28, rue Delandine, 69002 LYON, comme chacun le sait.
Pour la petite histoire, nous n'avons pas eu le temps de faire des recherches sur la bibliothèque éventuelle de la Société de Spéléologie. Peut être se confondait-elle avec la bibliothèque d’Edouard-Alfred Martel ? mais en tout cas, lors de la création du Spéléo-Club de France, dont le siège social est situé dans la Maison de l'Agriculture, 16 rue de la République à Montpellier, un chapitre des statuts est consacré à la bibliothèque et aux devoirs du bibliothécaire.
Notre petite bibliothèque fédérale n'a certainement rien à envier au Dépôt légal bien sûr, mais elle remplit honnêtement les 500 mêtres linéaires qu'on a bien voulut mettre à sa disposition.... et n'importe qui peut faire à saut à l'occasion d'un passage au siège... et consulter ses rayonnages sur rendez-vous.
@+
Agnès
(Je profite de ce message, les Spelunca demandés à Philippe Drouin sont prêts et vous attendent au siège).
Salut Agnes , Salut à tous...
Je suis heureux de constater que tu as rebondis sur mon post , pour faire la promotion de la bibliothéque dont tu parait prendre grand soin...
Etant un tantinet matheux , je me suis amusé a estimer le nombre de bouquins que l'on pouvait stocker sur 500 métres de rayonnages ...
à raison de 20 à 30 bouquins au métre, on peut arriver à une fourchette de 10 000 à 15 000 bouquins ...
je t'invite à nous en dire plus , sur tout ce qui peut concerner cette Bibliothéque ... Catégories d'ouvrages , catégories de thémes , curiosités diverses , ouvrages rares, etc...
Je pense que si tu as une formation de bibliothécaire , tu dois avoir de bonnes notions sur la "propriété intellectuelle" des divers ouvrages susceptibles d'être trouvés en bibliothéque ...
A ce propos , qu'en est il de la législation sur la Propriété Intellectuelle des "Topographies de gouffres et réseaux souterrains " ??
Existe t'il quelque chose la dessus , ou seulement un grand "Vide Juridique" ?...
Par exemple , si je découvre qu'un organisme d'état ( Le BRGM , par exemple ...), détiens et utilise une topographie spéléo que j'ai réalisé à la sueur de mon front, que puis je y faire, juridiquement parlant ??
Biens sur , ce n'est qu'un hypothétique cas de figure ...
Mais si toi , Agnés ,ou quiquonque avait des lumiéres sur ce sujet , je suis preneur ...
Cordialement à tous ...
Titou des Garrigues
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Avec le BRGM, je précise.
En cherchant vite fait, j'ai trouvé cela :
http://www.nievre.equipement.gouv.fr/IM … 55762e.pdf
La convention nationale signée entre la Fédération Française de Spéléologie et le BRGM concernant la mise à disposition de données a été déclinée au niveau
départemental entre le Comité Départemental de Spéléologie de la Nièvre et le BRGM.
Le CDS 58 nous a ainsi fourni une base de données très précieuse par l’apport de nouveaux sites mais également par la qualité descriptive des informations.
Cela a été évoqué sur la liste française spéléo l'an passé, de mémoire.
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Nous avons la même chose sur les Vosges.
Ce sont les coordonnées d'entrées, le nom, les dimensions qui ont été cédés par convention : pas les topos.
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Eric P88 a écrit:
Nous avons la même chose sur les Vosges.
Ce sont les coordonnées d'entrées, le nom, les dimensions qui ont été cédés par convention : pas les topos.
Salut Jef, Salut Eric...
Et savez vous qui à ramassé les ronds ??
le CDS local ? , quand même pas le" pov couillon" qui s'ait donné la peine de creer ces données ??
( les coordonnées, la toponymie , les dimensions , tout ce qui demande quand même un certain travail topographique et intellectuel, si ce n'est physique...)
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Pour nous c'est le CDS. Mais les 3 "pauvres couillons" qui ont vérifié les docs, qui sont allés sur le terrain c'est 2 autres membres du bureau et moi + quelques participations occasionnelles des uns et des autres.
Cela nous a également permis de retravailler notre inventaire et de refaire un peu de prospection...
L'argent récolté est utilisé pour retravailler sur le département. J'attends des "forces combattantes" pour aller agrandir un passage dans deux gouffres et on "perce" une entrée près de la zone terminale d'une grotte importante.
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bien joué Eric, et merci a tous les deux , Jef et Eric , pour vos précisions et vos documents joints ...
A plus
Titou des G
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Le BRGM a acheté aussi des inventaires (dont les nôtres ASCO en Côte-d'Or) où il avait les topos. Après, je me doute que ce sont des petites mains, stagiaires ou équivalents (ils parlent français en Inde ou au Magreb) qui ont tout saisi et converti en fichiers utilisables dans les bases de données...
A+
Jef
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Salut;
Il me semble que
La propriété intellectuel ne peut s'exercer que sur le dessin de la topographie car on estime qu'il s'agit d'une vision d'un regard d'une personne.
Alors que les coordonnées géographique, les mesures topographiques même si elles sont longue et fastidieuse à réalisé ne procède pas d'une construction intellectuelle.
Vous trouverez quelque chose ici : http://efs.ffspeleo.fr/les-stages/docum … ementation
le document a pour titre topographie et droit d'auteur.
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Judi a écrit:
Salut;
Il me semble que
La propriété intellectuel ne peut s'exercer que sur le dessin de la topographie car on estime qu'il s'agit d'une vision d'un regard d'une personne.
Alors que les coordonnées géographique, les mesures topographiques même si elles sont longue et fastidieuse à réalisé ne procède pas d'une construction intellectuelle.
Vous trouverez quelque chose ici : http://efs.ffspeleo.fr/les-stages/docum … ementation
le document a pour titre topographie et droit d'auteur.
Salut à tous ,
Merci bien Judi , pour cet intéressant et édifiant document , concernant certains aspects juridiques des topographies Spéléo ...
je vais ( nous allons ...) tous y méditer...
a plus
titou des G
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Salut,
Ce jugement date de 2003, la législation, au moins la jurisprudence, a pu évoluer.
Dans la pratique, le minimum est de demander à celui qui a fait la topo l'autorisation de la reproduire. Après, il peut dire oui ou non et ça se négocie. Les seuls cas que je connais personnellement concerne 2 topos qu'on a faites et qui ont été reproduites avec notre accord dans un inventaire. Et une demande qu'on a refusé parce qu'on sortait en même temps une publication. On s'est arrangé à l'amiable avec le demandeur et on a trouvé une solution.
Le problème est différent lorsqu'il y a plus d'argent en jeu, comme le cas cité par Judi. Là, il vaut mieux prendre conseil auprès d'un pro du droit car c'est une discipline complexe où le spéléo est souvent peu expérimenté.
Jef
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